RELATION MAFIEUSE entre ÉLUS et JUGES (PROUVÉE à NICE) identique à GRENOBLE pour l'APPROPRIATION DES BIENS DU PEUPLE et du POUVOIR. Affaire : Alain CARIGNON, Michel DESTOT, René PROBY...
Accueil      Ce site et d'autres sur René PROBY font scandales, le maire démissionne. Il va devoir justifier (un jour ?) devant le peuple son passé protégé par la justice

Les détournements de biens :
http://www.dailymotion.com/ video/x18ft42
14 Oct.2008 René Proby signe avec les notaires JACQUOT Dominique, REBERT Myrtille un faux acte authentique pour une dépossession de René FORNEY - Relance plainte : Voir
Comment le 1er adjoint
David QUEIROS, son ami depuis 20 ans, pouvait-il ignorer les illégalités de PROBY René ?
Quels sont les magistrats corrompus qui ont fait juter en prison René FORNEY qui apporte les preuves ?
Les millions d'euros détournés destinés à la petite enfance ? (Chantage pour quels faits ? - Détournement de fonds publics ? Qu'a fait David Queiros l'adjoint au maire ?)

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Texte recopié .... LE DAUPHINE LIBERE 1 SAMEDI 21 DÉCEMBRE 2013

SAINT-MARTIN-D'HÈRES Le maire communiste, aux commandes depuis 14 ans, contraint de passer la main
René Proby ne se représentera pas aux municipales de 2014

Lors au conseil municipal de Saint-Martin-d'Hères, jeudi soir, c'est le premier adjoint, David Queiros, qui a présidé la séance en l'absence du maire communiste, René Proby, excusé. Comme il l'avait fait en novembre. Mais jeudi soir, le premier adjoint a ouvert les débats avec quelques mots sur l'état de santé du premier édile.

Le maire est absent pour des raisons de santé. Je le remplace donc dans la plénitude de ses fonctions et mandats (au con-sel général et à la Métro également). Nous lui adressons tous nos souhaits de rétablissement », a-t-il conclu.

Une lettre envoyée aux agents de la Ville

Fragilisé à la suite d'un AVC, le maire est apparu très fatigué lors de l'hommage rendu à Nelson Mandela, le jeudi 12 décembre à la mairie. Pas de discours, ni bons mots qu'il affectionne. Il est resté silencieux.

Comme depuis le début de la campagne, d'ailleurs. Les têtes de liste et tracts avaient beau s'agiter, du côté des communistes on se contentait de sourire. Avec René Proby comme candidat légitime pour repartir dans la bataille, certains se laissaient même aller à l'excès de confiance.

Mais, cette semaine, une lettre signée du maire a été adressée à tous les agents de la-Ville (soit plus de 950). Une lettre dans laquelle René Proby remercie les employés communaux de l'avoir accompagné durant 14 ans et leur explique qu'un traitement médical le tiendra éloigné, momentanément, de la vie locale et politique

Après l'annonce de David Queiros au conseil municipal, certains élus, dont l'écologiste Georges Oudjaoadi, ont voulu en savoir plus. Mais le premier adjoint a préféré faire la sourde oreille. « Cette intervention n'est pas ouverte aux commentaires », a t-il lâché avant d'attaquer la présentation du débat d'orientations budgétaires. Hier par voix de communiqué, le maire, ancien médecin, a voulu mettre un terme aux rumeurs. « Aujourd'hui, pour des raisons de santé, je prends donc la décision de ne pas être le candidat tête de liste aux élections municipales [...] Je mettrai toute ma force et mon expérience au service de la liste portée par David Queiros, mon premier adjoint ».
À trois mois de l'échéance électorale, une nouvelle donne se profile pour la deuxième ville du département, communiste depuis 68 ans.

Christelle CARMONA

 
L'INFO EN +
« UNE DÉCISION DOULOUREUSE »
« Ma candidature, annoncée au printemps dernier pour les élections municipales, au nom d'une liste d'un large rassemblement à gauche, s'inscrivait dans ma volonté de poursuivre le travail engagé depuis 1999 avec le PC, le PS, le PG, le PRG, le MRC en faveur des Martinéroises et des Martinérois. Aujourd'hui, pour des raisons de santé, je prends donc la décision de ne pas être le candidat tête de liste aux élections municipales de mars 2014. Celle-ci m'est particulièrement douloureuse car la fonction de maire est celle qui me tient le plus à cour », explique René Proby, maire de Saint-Martin-d'Hères depuis 14 ans.
La réaction en marge du conseil de la Métro, hier, du premier adjoint martinérois David Queiros, qui, depuis ce samedi, est officiellement candidat aux municipales: « Ma première pensée est pour l'ami, car René est mon ami depuis plus de vingt ans. Proby, le Docteur Proby, c'est un nom qui résonne et rayonne à Saint Martin-d'Hères, où j'ai toujours vécu. Oui, aujourd'hui, le plus difficile pour moi est de voir mon ami René faire face à de délicats problèmes de santé. La population aussi est très affectée. Vous ne vous imaginez pas le nombre de personnes qui, chaque jour, me demandent de ses nouvelles...

Voilà, je voulais commencer par ça. Maintenant, si l'on parle aussi politique, le maire étant empêché, je prends mes responsabilités, en assurant l'intérim puis en étant candidat aux municipales. Je sais que je peux compter sur son soutien entier. Et croyez-moi, sur la route des municipales, c'est un soutien qui va beaucoup compter. »

Recueilli per St.E.
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270.000 euros détournés pendant combien d'années ? Cela représente le paiement d'une personne au RSA pendant 50 ans ! ! ! Pourquoi ce cadeau du maire René PROBY ? Silence acheté ?

D'après le Dauphiné Libéré du 28 septembre 2014 (ci-dessous). Sur la seule ville de St Martin d'Hères (38400), une subvention de 270.000 euros, pour le prétexte d'aider la petite enfance, aurait alimenté une association fictive dirigée par une des membres du parti politique en place ! (Ici le PC - sous la gestion du maire René PROBY).
" Son nom ne me revient, pas », s'excusait le maire, David Queiros " (C'était pourtant une élus de sa liste au dernière élection récente de six mois ! ! !)
Combien de détournements de la sorte se pratiquent en France, quand on sait que le même maire a signé un faux acte notarié, et, que la justice traine des pieds pour instruire cet acte de délinquance financière au profit d'une responsable municipale aux permis de construire qui a dépossédé son conjoint de ses biens immobiliers personnels!
Au profit de quel élus ? de quel parti politique ? Combien de magistrats corrompus ont préfèré faire taire les dénonciateurs en les mettant en prison aux prétextes d'outrages, ou en asile psychiatrique !
La dépossession du peuple organisée par les élites en toute impunité perdure depuis des décennies. Qui va agir pour obtenir les restitutions de ces fonds volés ? La mise en place d'un service civil obligatoire serait une parade à ces abus.

(Texte recopié plus bas)
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Saint Martin d'Hères - Politique- La délibération qui a fait caler le conseil municipal...
Les échanges autour du Cal (Comité d'animation et de loisirs) A 23 heures, mercredi, il y a eu comme un flottement dans l'air, autour de la table du conseil municipal. Des hésitations dans la voix et des regards gênés.
Alors que la séance avait débuté depuis cinq heures, la délibération 45 mettait à mal les élus de la majorité. En effet, elle invitait à se prononcer sur la reprise, par la collectivité, de l'activité du Cal (Comité d'animation et de loisirs) à compter du 1": octobre. Kristof Domenech (PG), adjoint à la petite enfance, expliquait alors que la mise en ouvre de la réforme des rythmes scolaires amenait la Ville à maîtriser l'ensemble des actions d'animation et d'éducation, dont celles du Cal. Ce transfert s'accompagne également de
la reprise d'un salarié.
Oui, mais voilà, sur le banc de l'opposition, on s'interrogeait sur cette association, dont le nom n'évoquait pas grand-chose à ces derniers. « Cette association a été dissoute en juillet, mais elle a donc touché sa subvention pour l'année, à combien s'élève-t-elle ? », questionnait l'UMP Mohamed Gafsi. « 270 000 euros ? Qu'est-il advenu de la somme ? », Poursuivait-il.
Un flottement et des regards en coin. « Cette association était sous contrat d'objectifs et de moyens, cette convention ne génère pas de demande de reprise du personnel. C'est étonnant ! », insistait à son tour le président du groupe Couleur SMH, Philippe SERRE.

Mais c'est le centriste Xavier Denizot qui allait poser la question de trop. « C'est une association tantôme, plus c'est gros et plus ça passe ! Qui était la présidente ? Une conseillère de la majorité quittait alors la salle. Et un échange crispé débutait. « Son nom ne me revient, pas », s'excusait le maire, David Queiros. Nouveau malaise. Finalement, après avoir demandé la permission au directeur général des services, le directeur: général adjoint lâchait le nom de l'ancienne présidente, qui n'était, autre que celui de la conseillère PCF partie prendre l'air quelques minutes plus tôt, Nathalie Puygrenier. Affaire à suivre.
Christelle CARMONA

La suite de l'affaire de la petite enfance - Article du Dauphiné Libéré
POLITIQUE
La centriste Asra Wassfi demande l'annulation
de la délibération sur le Comité d'animation et de loisirs
C'est au tour de la centriste Asra Wassfi de demander des comptes sur le Comité d'animation et de loisirs (Cal).

Cette fameuse délibération sur la reprise par la collectivité du Cal (Comité d'animation et de loisirs), présentée à 23 heures lors du conseil du 24 septembre, n'en finit pas de susciter questionnements et étonnements. Déjà, sa présentation par la majorité était très... théâtrale (lire notre édition du 28 septembre). Et ses réponses faîtes alors à l'opposition, qui dénonçait une "association fantôme" - dissoute en juillet mais qui attrait touché sa subvention annuelle - plutôt vagues.
La semaine dernière, Philippe Serre pour Couleurs SMH et Mohamed Gafsi, président

du groupe UMP, avaient adressé courrier au maire, David Queiros, afin de réclamer quelques pièces administratives... Hier, c'était au tour d'Asra Wassfi, d'écrire au chef de la majorité, en demandant l'annulation de la délibération au motif que "celle-ci est entachée d'irrégularités". « J'ai ressorti les archives, étudié le dossier du Cal. Je n'ai jamais entendu parler de cette association durant les commissions (jeunesse, affaires scolaires, culture) dont je faisais partie au cours du dernier mandat. C'est déjà étrange : j'ai trouvé une délibération de 2009 portant sur la subvention annuelle allouée au Cal.
Elle s'élevait alors à 130 000 euros. Comment peut-on passer à 230 000 en 2014, somme inscrite au budget primitif ? Et comment la ville pouvait prévoir d'attribuer cette somme alors qu'elle savait qu'elle allait être dissoute ? », interroge la centriste.
Ses interrogations ainsi qu'une liste de documents réclamés figurent dans le courrier transmis au maire. « Il m'a d'ores et déjà répondu qu'une réunion des présidents de groupe était organisée ce jeudi. Je préférerais disposer des documents demandés », insiste-t-elle.

Ch.C.