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Voir réponse contre l'expert Jean Réné Amouroux qui persiste à faire valider le projet de ma spoliation du notaire DESCHAMPS Yves enregistré illégalement aux impôts en 2004.
   
      
Une de ses absurdités !

L'expert CERTOUX a eu une promotion dans la police nationale en mai 2008 - sollicité aussi dans mon affaire , il rend une expertise alors qu'il sait que je dénonce ses confrères des ripoux de la police.

Extrait de : Liste des experts - COUR D'APPEL DE GRENOBLE... Pour l'année judiciaire 2008...


AMOUROUX Jean René (né en 1943, inscrit en 1978)
Nombre d'expertise en 2007 : (non précisé)
Ingénieur agronome ENSA Monpellier
3 allée des Centaurées - - 38420 MEYLAN
Tel : 04 76 90 60 32 6 Fax 04 76 90 81 33 - Email : amouroux.experts@wanadoo.fr
Un flic truands ?
CERTOUX Jean-François (né en 1950, inscrit en 1992)
Nombre d'expertise en 2007 : 15
Brevet d'Identité de la police Nationale, spécialité Graphologie
1014 route de la Combette - 38140 ST MARTIN D'URIAGE
Tél : 04 76 89 54 54 - Portable : 06 82 64 10 55

Un témoignage :

Bonjour Monsieur FORNEY,

J'avais déjà eu connaissance de votre site il y a quelque temps, mais en raison d'occupations personnelles je ne m'y étais pas attardé.

Aujourd'hui je peux mieux l'étudier; il est très édifiant et techniquement bien fait.

Je vous écris pour vous apporter une précision, qui n'a pas une grande importance en soi mais qui peut mieux vous faire appréhender cette atmosphère de copinage en tous genres qui régnait à l'hôtel de police de Grenoble.

Il s'agit de Monsieur CERTOUX Jean-François. Vous citez qu'il est, au moment des faits, en fonction et, pour ce faire, vous présentez un extrait de sa promotion au grade d'inspecteur divisionnaire.

Pour bien comprendre qu'il n'était pas arrivé là par hasard, je viens vous indiquer qu'il était en exercice à Grenoble bien des années avant 1981. C'est d'ailleurs cette année-là qu'il a pris la succession de Monsieur SANS, Inspecteur Divisionnaire muté à Toulon, à la tête du service local de l'identité judiciaire comme responsable.

Il était alors Inspecteur Principal. Il a été nommé Inspecteur Divisionnaire sans passer aucun concours, mais seulement parce qu'il avait beaucoup d'accointances avec les commissaires de la sûreté urbaine (aujourd'hui sécurité publique), avec les magistrats et juges d'instruction de l'époque, ainsi que les médecins légistes. Il était d'ailleurs fort peu présent dans son service, ses principales activités (je ne sais lesquelles) se passaient ailleurs.

Quant à ses fonctions d'expert en écritures, il les a apprises avec un ancien expert, pendant ses temps de service, et sans passer par aucune école qui lui aurait valu un quelconque diplôme. Par la suite, sa nomination d'expert près les tribunaux s'est faite sans aucun problème, grâce aux amis de nos amis. Avec l'arrivée de Nicolas SARKOZY, certaines modalités ont changé. Mais, à ce moment-là, il était formellement interdit à un fonctionnaire, en général, de travailler dans le privé, et, à fortiori, à un fonctionnaire de police, en exercice, d'être nommé expert près les tribunaux, dans une fonction habituelle de l'Identité Judiciaire - Police Technique et Scientifique.

MARGAILLAN Henri avait été nommé à la tête de la brigade criminelle de la Sûreté Urbaine, suite au départ du dénommé KOVARIK Serge, nommé lui-même Commissaire au bon vouloir des autorités en place (sans concours, bien entendu). Flic grenoblois encensé par les journalistes eux-mêmes. Toujours le copinage...

Tout ce petit monde était "cul et chemise" et formait une véritable maffia à l'hôtel de police.

Pour en revenir à CERTOUX, il possède aujourd'hui une villa à Uriage, ville de thermalisme et au parc immobilier huppé et coûteux. Difficile de croire que la retraite d'un inspecteur divisionnaire puisse permettre de résider dans un tel lieu, surtout en tant que propriétaire.

Vous allez logiquement vous interroger quant à la vérité de ce que je vous dis. D'autant que comme vous le précisez, tout mail ou courrier vous apparaît comme suspect de prime abord, et je le comprends fort bien.

Je puis vous affirmer que ce que je relate ici est la vérité formelle; bien des points peuvent en être vérifiés.

Votre combat est juste et vous souhaite bon courage pour la suite.