User-agent: Mediapartners-Google* Disallow: ZOOM IMPUNITE de magistrats truands LUC FONTAINE - PRADIER Jean-Pierre ... et les complicités qui ont laisséfaire

Accueil  - 29 mars 2012 à Privas procès du juge FONTAINE - Carte de France de ceux qui dérapent dans les institutions Méthodes du Juge Renard à Nice

A Grenoble un lourd passif, entraves à la manifestation de la vérité, abus de pouvoir... la place du juge Luc FONTAINE n'est pas au Palais de justice de Marseille, mais, en taule à la prison des Baumettes.
Enterrement de
ma plainte contre l'avocate corrompue Botta Aubert... la manipulation de mon tabassage par un ripou, 150 heures de garde à vue pour avoir dénoncé un réseau affairiste mafieux sous sa protection, la relaxe des MALDERA, arrêtés par 250 policiers serait aussi la conséquence de ses fautes !
Où est le contrôle de l'Etat ?

Source Dauphiné Libéré du 4 juillet 2008 :                 Réduction de la page (texte recopié ci-dessous)

Ce n' est pas un adieu mais un « au revoir », il y insiste en connaissance de cause : à la même date il y a cinq ans, le procureur-adjoint Luc Fontaine, alors juge d'instruction, quittait Grenoble pour Valence dont il est revenu deux ans plus tard. Après une incursion de trois ans au parquet, dont il a assuré la direction par interim à deux reprises, il est cette fois nommé au tribunal de grande instance de Marseille, premier vice-président chargé des fonctions de juge d'instruction à la JIS, la juridiction interrégionale spécialisée. S'il sait déjà « qu'au bord de la grande bleue » il aura « la nostalgie de son équipe » M. Fontaine peut être certain aussi « d'y trouver des dossiers à sa mesure », comme l'a assuré le procureur de la République Jean Philippe. Qui craint en revanche que « l'expérience, les compétences et la connaissance du milieu » de son adjoint soient

Le procureur-adjoint Luc Fontaine
part à Marseille

Luc Fontaine (à d., Pascal Le Moan) : « Une page difficile à tourner »
.
Le DL/ Frédérique VERHAEGHE

Jean Pierre Pradier, dont il a salué la « grande maîtrise », sont en effet « des péna­listes, très appréciés de la cour d'appel, qui a prélevé son dû... ». Ils n'auront donc qu'à changer d'étage pour prendre leur poste de conseiller, avec « toutes les chances de continuer dans le pénal ! ». Mme Nathalie Gouy-Paillier et M. Martin Delage ont « accepté de les remplacer dans les fonctions très exposées » qu'ils exerçaient.

Enfin les six auditeurs de justice qui ont fait leurs armes à Grenoble en partent pour leurs premières affectations. Le président Brossier les a félicités tout en leur souhaitant « beaucoup de courage pour les quarante années » qui les attendent, dans une profes­sion dont il sait qu'elle est « souvent vilipendée ». Ce dont il leur a conseillé de se faire une philosophie en leur citant Nietzsche Même un juge clément n'est pas un objet d'amour ! ».

Claire SIRAND

« difficiles à remplacer ».

Au départ aussi, Mme Marie Chiflet qui « pour des raisons familiales » part pour Montpellier où elle retrouvera ses fonctions de juge d'instance. Et M. Pascal Le Moan, nommé vice- président à Albertville. Son absence à l'audience, où il

occupait régulièrement le siège d'assesseur, va s'inscrire dans une vraie métamorphose du tribunal correctionnel qui perd, pour reprendre les termes du président Brossier, deux "piliers" de la collégiale pénale. Les vice-présidents Bernard Jacob et

Les nouveaux arrivants

Le décret est attendu d'ici une dizaine de jours : onze nouveaux magistrats devraient être installés à Grenoble au mois, de septembre.

La cour d'appel devrait accueillir deux nouveaux présidents de chambre, M me Anne-Marie Durand, jusqu'ici conseiller à Lyon, et M. Daniel Muller, président à Chambéry. Deux des conseillers grenoblois sont appelés à d'autres

juridictions - Ml1e Rauly, vice-présidente au TGI de Chambéry, et M. Jean-Luc Pierre, vice-président également mais au TGI de Vienne - deux, outre MM. Pradier et Jacob, sont attendus, M. Jean-Christophe Fournier, vice-président chargé des fonctions de juge d ' application des peines à Valence, et M11e Joelle Blatry, vice-présidente du tribunal d'instance de Privas,

Au tribunal de grande instance,

deux nouvelles vice-présidentes, Mme Brigitte Peltier, actuellement vice- présidente du tribunal d'instance de Grenoble, et Mme Isabelle Clair, juge à Bourgoin-Jallieu. Trois juges, également au féminin : Mme Valérie Blain, juge d'application des peines à Metz, Mme Anne Gaillotte-Pasquier, substitut à Meaux, et Mme Christine Rigoulout-Leibe, juge d ' application des peines à Valence.

Au parquet, c'est Mme Francine Advenier, vice-procureur à Lyon, qui remplacera M. Fontaine dans les fonctions de procureur-adjoint. Enfin le parquet général attend un nouveau substitut, M. Brillet, jusqu'ici vice-président à Fort-de-France. M. Pierre Coste, substitut à Privas, sera nommé vice-procureur placé auprès du procureur général Mme Martine Waldes-Boulouque.