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Lisez cet affairisme crapuleux que l'on retrouve dans toutes les institutions de notre pseudo "République" dans beaucoup de villes
Protégés par des procureurs véritables pourriture de nos institutions qui jettent en prison ceux qui publient les dérives
(Des magistrats en principe au service du peuple passible du CP 432-4 !) Lisez, comment ils vendent et pillent les biens du peuple
! En échange de pots de vin ? Ou d'emploi fictif ?
Ci-dessous "Lyon Capitale" mars 2013 (Autres articles sur Gérard COLLOMB : 1 ; 2 ; 3 ; 4 ) 1905 séparation de l'église et de l'ETAT pour y mettre les francs-maçons ?
Grand Orient


Nombreux ajoint au maire sont francs-maçons
Vente à la finance inter-nationale
Ils vendent
la France
Le !

bien !
public !
  Le peuple
dépossédé
Espace public privatisé  
"malversations financières... corruption... Près de 800.000 euros avaient disparus..."(Voir recopie)
(Voir recopie)
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Habitants jetés dehors !
 
 

Comme les autoroutes à péages, le patrimoine public de la montagne est privatisé par la finance internationale.

AFFAIRE DE LA PROPRETÉ DU GRAND LYON

LE RAPPORT ACCABLANT DE LA CHAMBRE DES COMPTES

La chambre régionale des comptes a rendu un rapport accablant sur les faits de malversations et de corruption présumées, que Lyon Capitale dénonce depuis deux ans et demi, au sein de la direction de la propreté du Grand Lyon.
Après une longue enquête, Lyon Capitale avait mis au jour un système de malversations et de corruption présumées de fonctionnaires au sein de la direction de la propreté du Grand Lyoji. Nos enquêtes avaient mis en évidence une série de malversations au sein de la subdivision Col-Est notamment, un service de la direction de la propreté. Gérard Collomb, président du Grand Lyon, avait qualifié nos révélations de "calomnies", prenant pour lui ce que nous racontions de la réalité de ses services. En prenant ce parti, il s'est de fait placé dans la position de celui qui, tout en voulant protéger l'institution, cautionne les pratiques douteuses. Dans cette affaire, tout est parti d'un fonctionnaire. Une cadre, l'une des toutes premières femmes au Grand Lyon à accéder à ces responsabilités dans un milieu d'hommes, a constaté de multiples anomalies et des malversations financières en prenant ses fonctions au sein de cette subdivision Col-Est de la direction de la propreté. Près de 800 000 euros avaient en effet disparu de la comptabilité de cette administration du Grand Lyon. Des factures paraissaient douteuses et suspectes. Elle a alerté sa hiérarchie et s'est retrouvée placée sur le banc des accusés puisqu'elle fut suspectée par le directeur de la propreté, Bruno Coudret, d'avoir "piqué dans la caisse". Ubuesque.

Enquête classée

Sur la base de nos investigations, le parquet de Lyon avait décidé l'ouverture d'une enquête préliminaire confiée à la brigade financière de la police judiciaire de Lyon. Après plusieurs auditions,

L' enquête a été classée sans suite par le parquet de Lyon. La justice est confrontée à plusieurs difficultés avec ce genre de dossier. La prescription des faits, puisque les agissements que nous dénoncions dataient de 2008. En matière de délits douaniers, la prescription est de trois ans. Ensuite, à qui imputer la responsabilité pénale de ces faits ? Des factures étaient payées deux fois, d'autres étaient établies sans la signature d'un responsable et sans que la prestation soit nécessairement réalisée, des malversations générales dans les heures supplémentaires (environ 500 000 euros) étaient relevées. Si les faits n'étaient pas contes- tés, la justice n'a pu obtenir les témoignages nécessaires pour déterminer des culpabilités précises dans cette affaire. Le rapport de la chambre régionale des comptes vient relancer cette affaire en revenant dans le détail sur les faits sur lesquels nous travaillons depuis juin 2010.

Gérard Collomb, président du Grand Lyon, avait qualifié nos révélations de "calomnies".

Rapport accablant
L'enquête des magistrats de la chambre des comptes est accablante pour le Grand Lyon et valide deux années et demie d'enquête conduite par Lyon Capitale. Entre le Grand Lyon et la chambre régionale des comptes, les négociations ont dû être âpres autour des 13 pages (sur 45) du rapport consacrées à la direction de la propreté. La chambre des comptes avait terminé son instruction fin décembre 2011 et a entamé des discussions avec la communauté urbaine au mois d'avril suivant. Le rapport d'observations définitives aurait dû être rendu public en juin 2012. Il ne l'a été que dix mois plus tard. Dans leurs conclusions, les magistrats constatent, eux aussi, des malversations dans les heures supplémentaires et relèvent qu'au moins jusqu'en octobre 2010, ce sont les agents qui déclarent leurs [heures supplémentaires], sans avoir demandé, au préalable, l'autorisation d'effectuer ces heures au supérieur hiérarchique".

Des agents s'octroient "des heures supplémentaires sans motif légitime et sans qu'il y ait contrôle du service fait". D'autre part, le rapport relève que plusieurs bons de commande ont été signés sans avoir la garantie qu'une prestation était réalisée en retour. Le rapport passe en revue des marchés publics pas­sés en 2007 par la direction de la propreté et se demande si les offres transmises par les sociétés n'étaient pas "anormalement basses", ce qui pose la question d'une éventuelle surfacturation des marchés dans les années antérieures. "Il conviendrait de savoir si, entre 2000 et 2007, le Grand Lyon n'a pas payé trop cher l'enlèvement de ses ordures ménagères." Présentant les conclusions définitives de la chambre régionale des comptes au conseil communautaire le 18 février, Gérard Collomb a jugé que "lorsque des magistrats examinent de façon approfondie la façon dont a été gérée la communauté urbaine, ils donnent un satisfecit, se contentant défaire des remarques". Le président du Grand Lyon pariait sans doute que personne ne pousserait la curiosité jusqu'à lire lesdites remarques.

SUM MAZNI

25 - LYON CAPITALE - N° 720 I Mars 2013

RÉSEAUX FRANC-MAÇONNERIE

LA LOGE LYONNAISE QUI VEUT EXCLURE GÉRARD COLLOMB

Sous couvert de laïcité, une loge maçonnique lyonnaise, baptisée Eugène-Varlin, entend exclure le frère Gérard Collomb de la franc-maçonnerie et du Grand Orient, son obédience. Ils vont déposer une plainte auprès des instances juridiques maçonniques. En cause, des subventions versées par la Ville de Lyon à des organismes religieux et, en toile de fond, des considérations politiques et idéologiques.

Une plainte devrait être déposée, fin février, devant la Chambre suprême de justice maçonnique, l'instance juridique du Grand Orient de France, contre Gérard Collomb. Des frères lyonnais de la loge Eugène-Varlin en sont à l'origine et espèrent quelle aboutira à l' exclusion de leur frère maire de Lyon et initié dans une loge parisienne. Cette plainte traîne dans le fond de l'air maçonnique lyonnais depuis quelques armées. Elle s'appuie d'ailleurs sur des faits qui commencent à dater. La requête, un dossier d'une centaine de pages, vise à démontrer que Gérard Collomb a bafoué les principes du Grand Orient en matière de laïcité. Les frères de la loge Varlin appuient leur argumentaire sur des délibérations votées au conseil municipal : en 2005, la Ville de Lyon avait subventionné l'organisation de rencontres interreligieuses chapeautées par la ssociation catholique Sant'Egi dio. Leur plainte vise aussi une subvention attribuée en juin 2009 à la fondation des Églises protestantes. Un autre pan concerne des aides versées à l'église de Fourvière : participation au musée catholique de l'Antiquaille et à la rénovation de la basilique à hauteur de 1,7 million d'euros. Le dossier repose aussi sur une garantie d'emprunt de la Ville de Lyon accordée à l' Institut catholique de Lyon pour la reconversion des anciennes prisons, pour un montant de 10 millions d'euros.

Dans le paysage maçonnique lyonnais, la loge Eugène-Varlin est réputée pour son engagement laïc rigoureux. Sur chacun de ces dossiers, des plaintes ont déjà été déposées auprès des instances régionales du Grand Orient ces dernières armées . Aucune n'a abouti. Des défenseurs de la laicité avaient, en vain, intenté des procédures en justice administrative. "J'entends ces rumeurs depuis longtemps, confie Guy Penven,

le délégué régional du Grand Orient de France. Des frères s'étonnent, en effet, de subventions versées par la Ville de Lyon ou le Grand Lyon à destination d'institutions cultuelles et culturelles. Aujourd'hui , il est difficile pour les élus de la République de situer la juste frontière entre ce qu'ils peuvent faire ou non par rapport à la laïcité. Le problème entre Gérard Collomb et la loge Varlin est récurrent depuis une petite dizaine d'années. S'il y a une plainte, elle se réglera entre francs-maçons éclairés. Mais je pense que le résultat ne sera pas différent des fois précédentes. Le cas Collomb a déjà été évoqué au couvent régional depuis son élection en 2001. À ce que je sais, le maire de Lyon ne s'est pas mis en travers de nos valeurs fondamentales. Sur les subventions en question, les frères qui portent plainte sont dans leur rôle, mais je pense que ça n'ira pas plus loin."

"Talibans gauchistes"

Au-delà des questions de laïcité, certains frères lyonnais voient aussi dans cette plainte une lecture politique. "Cette loge est un peu extrême. Ils sont sur une ligne "à bas la calotte". Ils veulent se payer Gérard Collomb depuis longtemps. Des frères d Eugène-Varlin ont peut-être des arrière-pensées politiques. Il y a dans cette loge des gens qui sont très à gauche. Il suffit de superposer le calendrier de leur plainte et celui des élections locales pour s'en rendre compte, je vois difficilement où est l' intérêt maçonnique de leur démarche", glisse un élu lyonnais du Grand Orient. "Chez nous, on bouffe du Collomb. Nous lui reprochons de mettre des coups de canif à la laïcité en subventionnant des organismes cultuels. Il a externalisé son appartenance à la franc-maçonnerie et son double discours est intenable. S'il s'affiche publiquement comme franc-maçon, il doit se comporter conformément à nos valeurs" confirme un

"Le problème entre Gérard Collomb et la loge Varlin est récurrent depuis une petite dizaine d'années. S'il y a une plainte, elle se réglera entre francs-maçons éclairés"

Guy Penven, délégué régional du GOF

membre de cette loge à l'origine de la plainte. Un élu socialiste note que les subventions incriminées étaient portées par d'autres francs-maçons du Grand Orient comme Yvon Deschamps ou Jean- Michel Daclin. Les frères de la loge Eugène-Varlin n'ont ciblé que Gérard Collomb. "C'est une loge de talibans gauchistes chez qui, depuis des années , chaque délibération génère des montées de fièvre, affirme un élu initié du conseil municipal . Ils ont déjà déféré Gérard Collomb devant le tribunal maçonnique, qui a refusé de poursuivre. Toutes les loges ont leur liberté de pensée, mais je pense qu ' Eugène-Varlin est sous l'influence de groupes d'extrême gauche. Ils ne sont que quatre ou cinq activistes, et la quasi-majorité des maçons lyonnais ne se retrouve pas dans cette démarche." "La laïcité n'est qu'un paravent pour ces francs- maçons", observe un autre conseiller municipal (PS). "Certaines déclarations de Gérard Collomb sur François Hollande [le président de la République n'est pas franc-maçon mais compte de nombreux frères du GO dans son entourage, XdlR] ou sur des ministres francs-maçons ont aussi pu blesser certains de nos frères. Il y a des moments où il faut savoir être fraternel'', note un socialiste du conseil municipal, "frère" de Gérard Collomb. "Au Grand Orient, il y a toujours eu de la friture sur la ligne sur les questions de laïcité. Des frères trouvent toujours de bonnes raisons pour taper sur Gérard Collomb. Ressortir l'histoire de Sant'Egi-

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dio qui avait beaucoup fait jaser en interne, aujourd'hui, ça sent vraiment le '¦::hauffé", appuie un de ses collègues de loge comme de conseil municipal.

Héritage vs réseautage
-rrière-pensée laïque ou politique, es divergences de vues entre les frères de Varlin et Gérard Collomb illustrent ai n si deux conceptions différentes de a franc-maçonnerie. Les plaignants plaident pour une franc-maçonnerie plus présente sur les questions de société que sur du réseautage. Ce courant du Grand Orient pousse pour s' imposer comme un acteur public et revendiquer ce qu'ils décrivent comme leur héritage : la République, la Résistance ou encore l'abolition de la peine de mort. À l'inverse, les vieux frères compartimentent leur travail maçonnique à la sphère privée. L'externalisation des travaux maçonniques doit permettre , dans l'esprit des frères frondeurs de la loge Eugène-Varlin, d'occulter définitivement les fantasmes affairistes. Les maçons anti-Collomb tenteraient de déboulonner l'influence du maire de Lyon et de ses élus sur la franc-maçonnerie lyonnaise. Jusqu'à présent, leurs tentatives ont échoué.

PAUL TERRA
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"Soeurs". Dans les rangs des conseillers municipaux, le Grand Orient compte aussi quelques membres, comme les élus du 8 e arrondissement Christian Coulon et Michel Le Faou. "Notre obédience à la différence des autres, se méfie moins de l'engagement politique, explique Yvon Deschamps. ancien adjoint à la Ville de Lyon. Pour nous l'engagement dans la vie de la cité est un élément important. Nous étions déjà au Grand Orient avant de prendre la Ville de Lyon en 2001. il n' y a pas eu de concertation. C'est pour cette raison que certains d'entre nous ont fait leur "outing" durant le premier mandat, pour tordre le cou aux spéculations."

' La franc-maçonnerie permet de dépasser les clivages gauche/droite"

"Nous sommes minoritaires au conseil municipal assure un élu socialiste. Être franc-maçon ne nous à jamais aidé en politique et je n'en ai jamais joué. Cet engagement montre simplement quelles sont les valeurs essentielles d'une personne. Nos engagements sont purement idéologiques." À l'heure d'évoquer l'influence du Grand Orient, des membres de cette loge n'hésitent pas à réécrire l'histoire à leur avantage. "En 2001, Gérard Collomb a été élu président du Grand Lyon grâce aux réseaux du Grand Orient, se vante un conseiller municipal socialiste. La franc-maçonnerie permet de dépasser les clivages gauche/droite. C'est ainsi qu'un accord a eu lieu et que Gérard Collomb a pris la présidence du Grand Lyon et François-Noël Buffet la première vice-présidence.

Lyon, et surtout à Paris, les réseaux franc-maçon se sont activés." "Des élus de droite ont voté Collomb parce qu'ils étaient francs-maçons. Cela a joué", avouera François-Noël Buffet quelques années plus tard. Mais les réseaux du bâtiment s'étaient aussi mobilisés à l'époque pour éviter une paralysie politique du Grand Lyon, néfaste pour leurs affaires. D'autres raisons peuvent expliquer le revirement des maires de centre-droit des petites communes : postes de vice-présidents et travaux de voirie. L'influence maçonnique

n'a pas forcément été l'élément principal de la trahison des 12 élus de droite.
Vue de l'extérieur et d'autres obédiences, la neutralité politique des frères du Grand Orient prête à sourire. "Lors de la campagne des législatives, Gérard Collomb a fait interdire Philippe Meirieu de toutes les loges lyonnaises, note un franc-maçon socialiste, membre d'une autre obédience. Il a dû aller à Chalon-sur-Saône pour pouvoir s exprimer devant des frères du Grand Orient."
"Au Grand Orient, nous ne recevons jamais les candidats en campagne. Philippe Meirieu a pu se sentir mis à l'écart, mais la règle était la même pour tous les politiques", plaide un frère du Grand Orient. Thierry Braillard, qui appartient à cette obédience, a été logé à la même enseigne mais a pu profiter des à-côtés de la vie maçonnique durant la période de campagne électorale.
"Il nous arrive d'échanger de manière informelle de politique, mais cela ne dépasse pas le niveau des discussions de café du commerce", concède Yvon Deschamps, ancien adjoint et membre du Grand Orient. Un socialiste nous a confié avoir changé d'obédience pour ces raisons : "Je ne voulais pas retrouver les discussions de section en loge. Le Grand Orient est noyauté à Lyon à 90% par des socialistes. Cette obédience veut être opérationnelle et intervenir dans b vie publique. À la Grande Loge de France, nous ne sommes pas censés parler de politique. Quand Gérard Collomb élabore ses listes pour les municipales, les entrants de la société civile s'expliquent bien souvent par la franc-maçonnerie." Marie-Odile Fondeur, Heidi Giovacchini ou encore Georges Képénékian siégeaient ainsi en loge avant d'entrer au conseil municipal.

De la discussion "en confiance' 7 à l'affairisme

L'influence du Grand Orient comme des autres obédiences déborde aussi des cuisines politiciennes. "Pour réussir en politique, la franc-maçonnerie n'est pas un passage obligatoire mais leur influence n'est pas négligeable, glisse un décideur lyonnais. De la même manière qu'il est plutôt

Comme Marie-Odile Fondeur, Gilles Buna et Thierry Braillard, de nombreux adjoints au maire de Lyon sont francs-maçons.

conseillé de ne pas se mettre à dos la CGPME ou le Medef. Il est toujours important défaire partie d'une confrérie. Les loges sont des relais d'opinion qui touchent certaines populations comme les professions libérales, les chefs d'entreprise, les commerçants, les universitaires." "Être franc-maçon permet d'avoir des rapports plus directs avec les chefs d'entreprise qui le sont aussi", confie un conseiller communautaire socialiste, membre du GO. "Le seul bénéfice qu'octroie la franc-maçonnerie à un politique est de lui offrir la possibilité de rencontrer dans un cadre plus apaisé des adversaires, précise Jean-Jacques Gabut, Grand Maître honoris causa de la Grande Loge de France. Des consensus peuvent naître d'une discussion dans un cadre maçonnique, où l'on ne se coupe pas la parole." En loge, les clivages gauche/droite ne sont pas les seuls à voler en éclats. "Gérard Collomb peut discuter avec des investisseurs dans un autre cadre, estime un franc- maçon socialisant II joue plus en confiance dans une discussion entre frères. Il a l'assurance que son interlocuteur respectera l'accord scellé en loge. Entre nous, nous n'avons pas le droit de nous trahir." L'affairisme est une vieille réputation, qui colle à toutes les obédiences comme une étiquette embarrassante. Et, à ce jeu, chacun se renvoie la balle. "À Lyon, certaines loges sont plus affairistes que d'autres. À la GNLF, il y a beaucoup de chefs d'entreprise et je ne suis pas sûr qu'ils réfléchissent beaucoup à des questions de société", balance un membre du Grand Orient. "Pour faire des affaires à Lyon, il faut aller au Grand Orient. Il suffit de regarder qui en est membre", s'amuse un franc-maçon de la Grande Loge de France.

PAUL TERRA


Par René FORNEY 0763 15 66 46