Accueil    


    Retour à la carte de France de ceux qui dérapent dans les institutions

Outreau : Une cascade de 80 juges qui entérinent les yeux fermés le travail absurde du juge BARGAUD.

Mon avis :
Ici, c'est pareil à OUREAU avec un seul mort par suicide :

Une assistante maternelle qui insiste trop pour les devoirs scolaires d'un ADO soient faits. Celui-ci se venge et lance de fausses accusations totalement absurdes et non vérifiées.

La machine répressive se met en branle sans qui rien ne l'arrête, même pas le suicide du conjoint écœuré.

Pour éviter de reconnaître les absurdités du dossier et mettre en difficulté du travail mal fait, des magistrats condamnent la personne en audience publique parce qu'ils ne veulent surtout pas remettre en cause l'incompétence d'un de leur confrère. La défense était pourtant parfaitement assurée.

La journaliste ne relatera même pas les protestations du public témoin des abberrations dont je faisais partie avec une dizaine de personnes venues avec moi pour une autre affaire. (Comme me disait certains policiers qui savaient couvrir des magouilles : nous avons une hiérarchie ! Comme en 1940 ! )

Seul le service civil obligatoire de personnes non permanentes mettra un terme à ces affaires qui ne doivent plus être jugées par une majorité de juges qui n'ont rien à faire de détruire la vie gens et refusent totalement de voir leurs erreurs et celles de leur milieu.

Au lieu d'être indemnisée, cette personne n'a plus le droit de travailler !


Erreurs judiciaires reconnues
?

 

AGRET Roland
Dils Patrick
Masse Myriam

OUTREAU

ROCHEPAULE !

SECHER

BOREL

ROCHEPAULE

Représentant le ministère public, Alexandra Guérin n'a pas laissé place à l'inattendu lors de ses réquisitions à l'encontre de Nicole Beauveil, famille d'accueil d'enfants en difficulté à qui il était reproché d'avoir exercé des "violences habituelles sur mineur de 15 ans suivies d'incapacité n'ex cédant pas 8 jours". Le parquet a requis 6 mois d'emprisonnement, assortis intégralement de sursis ainsi qu'une obligation de soins et l'interdiction d'avoir des contacts avec des mineurs dans le cadre de sa future profession.

Les faits reprochés remontent au mois d'avril 2004 et se seraient renouvelés pendant trois ans. La prévenue est accusée d'avoir infligé des sévices physiques à Yannick' et ses deux sueurs dont elle était l'assistante maternelle depuis 2000. Les enfants étaient alors âgés de 15 jours, 2 et 6 ans.

Mais ce n'est qu'en 2007 que Yannick raconte à l'infirmière de son collège de Saint-Agrève que Nicole Beauveil aurait essayé d'étrangler sa petite soeur Métissa et l'aurait frappé lui à la tête avec un marteau. L'alerte est alors donnée à l'aide sociale à l'enfance.

«Un vague rapport médical»

Pour le ministère public, pour qui il s'agit d'un dossier de l'échec (...), « la vérité se cache clans les détails ». Ce dernier donc, de s'attarder sur les trois signalements de maltraitance provenant « de personnes n'ayant rien à voir les unes avec les autres », ainsi que sur les témoignages de deux sœurs qui avaient séjourné avant Yannick et ses sœurs, chez Nicole Beauveil.

Comment expliquer que des enfants qui ne se connaissent pas dénoncent le même type de faits”, questionne Mme Guérin à l'audience, Nicole Beauveil clame son innocence.

« Tout est faux, déclare t-elle, j'ai exercé ce métier avec cœur. Je sanctionnais les enfants oui, mais je ne les ai jamais frappés. » Âgé aujour d'hui de 16 ans, Yannick tient à s'expliquer à la barre. « J'ai voulu nous protéger. Pratique ment tous les matins, j'avais un bleu ou une bosse. Si je faisais un truc de travers, elle me ta pait ». Faux, répond l'avocat de la défense qui évoque un vague rapport médical dans lequel il n'y a rien. Pendant plus d'une heure, les témoins brossent le portrait d'une femme aimable, chaleureuse, qui n'a jamais marqué rte différence entre ses propres enfants et ceux qu'elle accueillait ». Au bout de 6 heures d'audience et d'une heure de délibéré, Nicole Beauveil est reconnue coupable de violence sur Yannick. Elle est condamnée à trois mois de prison avec sursis.

Virginie SANCHEZ

Les prénoms des enfants ont été modifiés.